"Il faut que quelque chose change" — Haïti ne peut plus attendre.

      Plus d’un an après l’installation du Conseil Présidentiel de Transition (CPT), le peuple haïtien continue de sombrer dans l’indicible.
Au lieu de relever le pays, les dirigeants s’enfoncent dans le confort de leur inaction, pendant que la population, elle, tente désespérément de survivre. Le contraste est cruel, insoutenable, révoltant.

     Un pays en chute libre.

La réalité, c’est celle-ci :

  • Les gangs armés gagnent du terrain chaque jour.

  • Des quartiers entiers sont vidés de leurs habitants, devenus déplacés internes sans ressources ni protection.

  • Les assassinats, les disparitions, les exécutions sommaires sont désormais monnaie courante.

  • Et pendant ce temps, aucune amélioration notable n’est constatée. Ni en sécurité, ni en gouvernance, ni en espoir.

 

   Dirigeants insouciants, peuple aux abois.

          Ce qui frappe le plus, ce n’est pas seulement l’ampleur de la crise. C’est le silence glacial des autorités, leur absence totale de compassion, leur refus de reconnaître la gravité de la situation.
Pendant que des familles fuient sous les balles, nos dirigeants agissent comme si tout allait bien, protégés derrière leurs murs et leurs privilèges.

   “Il faut que quelque chose change”

         Ce ne sont pas mes mots. Ce sont ceux du Pape Jean-Paul II, lors de sa visite historique en Haïti en 1983.
Mais jamais cette phrase n’a été aussi urgente qu’aujourd’hui.

      Quelque chose doit changer. Non pas dans six mois. Non pas aux prochaines élections. Maintenant.

       Car si rien ne bouge, nous allons continuer à regarder ce pays se désintégrer — et nous avec.

  Ce n’est pas une opinion, c’est un cri

    Ce blog n’est pas un exercice de style.C’est un cri du cœur lancé à ceux qui m’écoutent, qui me lisent, qui sentent eux aussi que ça ne peut plus durer.

 Il ne s’agit plus de politique. Il s’agit de vie ou de mort. De nation ou de néant.

 Partager ce texte, c’est briser le silence. Réagir, c’est refuser la résignation.

 Je continuerai, à documenter ce que certains préfèrent ignorer.
 Ma voix ne sera pas la dernière. Elle sera l’une des premières.

        05/02/25                                                                                         Posted by: JRM

Le conseil Présidentiel d'Haiti

     

   

  Introduction :

         Depuis plusieurs années, Haïti est plongé dans une crise de sécurité sans précédent. Les gangs armés ont pris le contrôle de plusieurs quartiers de Port-au-Prince, la capitale, et des autres villes du pays. Les citoyens haïtiens vivent dans la peur constante des enlèvements, des meurtres, des viols et des extorsions. Les gangs armés ont créé un climat de terreur qui paralyse le pays.

        La montée des gangs armés :

         Les gangs armés haïtiens ont commencé à émerger dans les années 1990, pendant la dictature de Jean-Claude Duvalier. Cependant, c'est après le coup d'État de 2004 que les gangs ont commencé à prendre le contrôle des rues. Les gangs ont été armés et financés par des politiciens et des hommes d'affaires qui cherchaient à maintenir leur pouvoir et leur influence.

        Les conséquences de la terreur :

          Les conséquences de la terreur des gangs armés sont dévastatrices. Les citoyens haïtiens vivent dans la peur constante, les enfants ne peuvent pas aller à l'école, les commerçants ne peuvent pas ouvrir leurs boutiques, les hôpitaux ne peuvent pas fonctionner normalement. Les gangs ont également créé un climat de corruption et d'impunité qui permet aux criminels de rester en liberté.

        Les solutions :

          Pour mettre fin à la terreur des gangs armés, il faut une approche globale qui implique le gouvernement, la société civile et la communauté internationale. Voici quelques solutions qui pourraient être mises en place :

- Renforcer les forces de sécurité haïtiennes pour qu'elles puissent lutter efficacement contre les gangs.

- Créer des programmes de réinsertion pour les membres des gangs qui veulent abandonner la violence.

- Améliorer les conditions de vie dans les quartiers pauvres pour réduire la pauvreté et la désespérance qui alimentent la violence.

- Soutenir les organisations de la société civile qui travaillent pour promouvoir la paix et la sécurité.

        Conclusion :

             La terreur des gangs armés en Haïti est un problème complexe qui nécessite une solution globale. Il faut que les Haïtiens, les organisations internationales et les gouvernements travaillent ensemble pour mettre fin à la violence et créer un climat de paix et de sécurité. Les citoyens haïtiens ont le droit de vivre dans la paix et la sécurité, et il est de notre responsabilité collective de les soutenir dans leur lutte pour un avenir meilleur.

                 03/21/25                                                                                       Posted by: JRM

Gangs armés dans la capitale Haitienne.

Haïti, la terreur des gangs armés.